« L’amour c’est surcoté » : quand le cinéma explore nos blessures amoureuses avec justesse et humour
- Claire Dhellemmes
- 1 mai
- 2 min de lecture
J’ai regardé récemment le film L’amour c’est surcôté avec la touchante Laura Felpin et le sensible Hakim Jemili, et j’ai été profondément touchée.
Derrière sa légèreté apparente, cette comédie aborde avec finesse des thèmes qui, moi, me passionnent : nos blessures, nos peurs, et la manière dont elles influencent nos rencontres.
Ce n’est pas juste une histoire d’amour classique.
C’est un récit sur ce qu’il se passe avant, pendant, et même malgré la rencontre.
Ce que j’ai adoré :
L’humanité des personnages : on s’attache à eux parce qu’on s’y reconnaît.
L’humour : qui n’efface rien, mais rend les émotions accessibles.
Le traitement subtil des blessures émotionnelles : on comprend à quel point nos cicatrices façonnent notre manière d’aimer.
Dans ce film, on ne nous vend pas un amour parfait.
On nous montre un amour qui fait avancer, un amour qui nous met face à nous-mêmes.
Et c’est là que le film m’a le plus marquée.
Parce qu’en coaching, je le constate chaque jour :
Nos relations révèlent des parties de nous qu’on avait mises sous silence.
Nos attentes, nos peurs, nos croyances…
Tout remonte. Et c’est normal.
Ce film le montre bien :
On ne s’aime pas malgré nos blessures.
On s’aime à travers elles.
Et l’autre peut devenir un vrai miroir, un guide, une chance de guérison.
Mais ça demande une chose : oser être soi.
En conclusion :
Ce film m’a fait rire, mais il m’a aussi rappelé pourquoi j’aime tant accompagner celles et ceux qui veulent avancer en amour.
Parce qu’on mérite tous une relation dans laquelle on grandit, pas dans laquelle on se protège.
À voir si vous êtes célibataire, si vous vous posez 10 000 questions sur l’amour,
ou si vous avez juste envie d’un film qui fait du bien et qui, en plus, fait réfléchir.

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